Les chants

Œuvrant dans une joyeuse anarchie, nous n’enregistrons pas les chants dans l’ordre où ils apparaissent dans le livre. Nous ne proposons pas non plus de version sonore définitive d’un chant. Certains chants connaîtront peut-être ainsi 4 ou 5 versions. D’autres encore ne seront peut-être jamais mis en son, jamais mis en voix.

Nous travaillons au hasard. Selon notre inspiration. Ne sachant pas où l’on va. Ne sachant pas non plus grand chose des raisons pour lesquelles un jour, une fois, à Dubna, Georgy Flyorov a décidé de noter les propos quotidiens de son collègue et ami Konstantin Peterzhak. Ne sachant rien des raisons pour lesquelles il a choisi d’appeler MON ÉPOPÉE le volume 13 de ces propos. Ne sachant rien non plus des raisons pour lesquelles il a souhaité d’appeler « chant » chacun de ses propos. Il y aurait ici à mener une enquête. Il y aurait ici à se rendre à Dubna. À s’intéresser au travail atomique. À rencontrer les familles et les proches. À comprendre comment et pourquoi, à l’ère soviétique, quelqu’un a tenu ces propos à quelqu’un d’autre. À comprendre comment et pourquoi ce quelqu’un d’autre a jugé essentiel de noter scrupuleusement, au jour le jour, des propos tenus en tête-à-tête par quelqu’un sirotant un café.

 

Les chants 1 à 5

Les chants 6 à 10

Les chants 11 à 15

Les chants 16 à 22

 

Les instrumentaux

Les marges